vendredi 29 novembre 2013

Les radars automatiques du bois de Boulogne à nouveau vandalisés


Alors que le gouvernement socialo-salafiste a proposé d’augmenter la répression des vis-à-vis des clients de prostitués, un mouvement regroupant des usagers mécontents se met progressivement en place : les calottes rouges. Si leurs premières actions consistaient plutôt à faire signer des pétitions, ils viennent de changer de mode d’action puisqu’ils se sont attaqués hier après-midi aux différents radars automatiques déployés début janvier 2812 dans le bois de Boulogne.

Ces radars, équipés de caméras à balayage thermique et de drones récupérateurs de semence, coûtent extrêmement chers aux contribuables mais sont capables de détecter un acte sexuel à plus de 500 mètres à la ronde. L’an dernier, ce sont 687.259 infractions à la Charia de 2773 qui ont été constaté par les radars du bois de Boulogne. Malgré les nombreuses amendes envoyées automatiquement (via l’ANTAI (à ne pas confondre avec la pornographie japoniaise)), cela ne semble pas dissuader l’engouement des clients qui sont toujours aussi nombreux à fréquenter le bois à la recherche de fleurs du macadam. Le gouvernement, toujours aussi incompétent à résoudre les problèmes des français, a donc décidé de faire passer le prix de l’amende pour le client à 50 fois le prix d’une fellation !

Non d’une pipe ! Mais ils n’ont donc rien de mieux à faire ? On peut légitimement comprendre la colère des calottes rouges, qui ne sont pas prêts à accepter une telle mesure et commencent à durcir le ton (à défaut de pouvoir durcir autre chose) vis-à-vis du gouvernement. Ce mouvement, essentiellement composés de bretons et plus généralement de personnes au profil génétique déficient, demande à ce que l’on prenne en compte le fait que leur sexualité est enclavée. Or quand on a un physique ‘difficile’ et/ou que l’on est légèrement déficient mentalement, avoir accès à la sexualité passe forcément par la prostitution. Or contrairement à ce que laisse entendre le gouvernement, exclave sexuelle et esclave sexuel sont deux choses totalement différentes.

Un prostitué n’est pas forcément un esclave sexuel mais peut se trouver dans une exclave sexuelle. Commençons par nous poser les bonnes questions : qu’est-ce qu’un prostitué ? Un prostitué, c’est avant tout un auto-entrepreneur qui propose un service et qui paye cotisations et impôts. Certains préfèrent passer par une société de service et sont des prestataires du sexe. Ils ne se chargent pas de trouver des clients et sont envoyés en mission par leur patron. Dans les deux cas, ce sont des activités professionnelles légales et il n’est pas normal de pénaliser ces entreprises en interdisant à leurs clients d’avoir accès à leurs services. En ces temps de crise c’est purement et simplement un acte criminel.

Alors c’est vrai que la prostitution entraine parfois des dérives… mais c’est le cas dans tous les corps de métier et pas seulement dans la prostitution. Certains patrons n’hésitent pas à faire le plus de profit en recrutant des travailleurs du sexe étrangers. Certes, rares sont ceux qui deviennent prostitués par plaisir ou envie. Mais est-ce le seul métier où les travailleurs ne font cela que dans un but alimentaire ? Tout travail est une forme de prostitution : un bon employé, tout comme un bon prostitué, fait croire à son patron qu’il est le meilleur (en espérant une récompense ou promotion) et joue un rôle. La seule réelle différence est que la sodomie est beaucoup plus concrète dans le cas de la prostitution.

Pourquoi celui qui négocierait l’utilisation de son corps par un tiers devrait-il être puni ? Quelle est la différence avec certains mariages ? Combien de vieux cons fortunés se marient avec un petit jeune pour pouvoir lui tripoter la rondelle en échange d’argent ? Combien de journalistes se tapent des hommes politiques afin de leur arracher des confidences qui leur rapporteront de l’argent ?

Quant aux clients de prostitués, ils ne sont pas tous des pervers esclavagistes. Ce sont avant tout des personnes qui souffrent et qui ont un manque. Manger, dormir, chier et baiser sont des besoins naturels. On peut manger seul, dormir seul et chier seul : mais pour ce qui est de la sexualité, il faut être au moins deux. Soyons précis : se masturber devant des pornos en s’enfonçant les doigts dans le cul ne suffit pas à satisfaire une véritable envie de sexe. Certes, la technologie a progressé et les derniers modèles de mollahs gonflables sont particulièrement réalistes avec leur bouche auto-pompeuse et leur anus permettant de se géo-localiser pour se tourner automatiquement vers le mec. Mais rien ne remplacera jamais le contact avec la chair, le poil et la merde. C’est ainsi que l’homme est fait, on ne peut pas lutter contre la nature humaine. Nous avons été créé par Allah et nous ne devons donc pas lutter contre sa volonté.

Pourquoi une personne repoussante (physiquement et/ou mentalement) n’aurait pas le droit d’avoir accès à une vraie sexualité ? Qu’il paye un psychologue ou un prostitué pour combler ce manque ne fait pas de différence… quoique le psychologue est bien plus cher et peut vous refiler des maladies bien plus terribles qu’un simple chancre mou : une bonne éjaculation est bien moins nocive que n’importe quel antidépresseur. Il y a également des personnes qui vont voir un prostitué sans pour autant avoir le moindre handicap physique ou comportemental. Certaines personnes ont un appétit sexuel que leurs époux ne peuvent assumer (aussi bien qualitativement que quantitativement). Ils décident donc de faire appel à des professionnels du sexe. En quoi est-ce si dérangeant ? Voir un prostitué sur le trottoir, c’est choquant ? Plus ou moins choquant que de voir un clochard crever de faim sur le même trottoir ?

Ne nous voilons pas la face, la mesure envisagée par le gouvernement va inévitablement conduire à la mise en danger des prostitués : les obliger à se cacher, à s’isoler pour pratiquer leur art, va les rendre plus vulnérables et certains clients vont en profiter. Ce gouvernement n’était pas censé aider et protéger les travailleurs ? Pourquoi ne pas plutôt encadrer tout cela et ouvrir des harems ? Pour une question morale ? Où est la morale dans ce monde capitaliste où ce sont toujours les mêmes ordures qui exploitent les autres ? La retraite chapeau (annulée ou pas) du pantin qui dirigeait PSA pendant 5 ans ne vous parait pas plus immorale ? D’ailleurs, avec cette proposition de loi sur la prostitution, ce sont une fois de plus les pauvres qui vont trinquer puisque les gros porcs plein de tunes (qui ont les moyens de se payer les services d’escorts dans des hôtels de luxe) ne risqueront rien. Mais ceux qui vont voir les prostitués ‘premier prix’ dans un bosquet seront ceux qui seront le plus touchés par cette loi.

Et puis la prostitution est le plus vieux métier du monde : elle fait partie de notre identité nationale et de nos racines. Au FIN nous sommes donc particulièrement attachés à la prostitution. On se souvient d’ailleurs avec émotion de notre candidat FIN aux cantonales de 2811 à Coudekerque-Branche qui s’était suicidé à cause des rumeurs que faisaient courir ses adversaires à son sujet. Contrairement à ce qui était dit dans le Phare dunkerquois, Sabah KAZ n’était pas un escort. Et puis même s’il en était, en quoi est-ce un problème (surtout dans le cadre de la politique) ? Naïm LEE PEN avait d’ailleurs déclaré : « Il paraît que c’est pas vrai et pourtant, je trouvais ça plutôt sympa, après tout. Un escort, c’est quelqu’un qui accompagne des gens qui n’ont personne pour pouvoir dîner... C’est ça ? ». C’est exactement cela, à la fin du diner certains sont plutôt pipe que cigarette ou plutôt café noir que thé. Qui sont-ils pour juger ce qui est bien et ce qui est mal ? Au FIN nous connaissons bien la prostitution et contrairement à ce que l’on veut faire croire aux français, nous sommes très à l’aise avec tout ce qui touche à la sexualité. Un des pères de Naïm LEE PEN (le premier époux du mollah Omar LEE PEN) n’a pas hésité à se taper un borgne pendant des années et à poser nu dans Playboy. Le frère de Naïm (Yann LEE PEN) a toujours couché à droite et à gauche (enfin surtout à droite) et son fils (le Maréchal LEE PEN) est issu d’une de ces relations purement sexuelles.

Le FIN soutient donc le mouvement des calottes rouges et ira jusqu’au bout ! Les rangs des opposants à cette proposition de loi ne devraient pas tarder à gonfler puisque les sans calottes (Rassurez-vous, nous ne parlons pas des juifs qui resteront eux sur la lune à emmurer leurs cratères.) devraient les rejoindre dans les prochains jours.

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